EPHEBE Ҩ undisclosed desire.

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Ephèbe Lukke Hamilton
~ J'ai tendu des cordes de clocher à clocher, des guirlandes de fenêtre à fenêtre, des chaînes d'or d'étoile à étoile, et je danse (Arthur Rimbaud) ~

I ~ life is not all beer and skittles
Age: vingt-huit ans
Lieu et date de naissance: Sutton, Oklahoma, USA, le 24 novembre
Nationalité: américaines
Profession/études: comédien, acteur (pour le théâtre principalement)
Traits de caractères: Ephèbe est un garçon charmant, gentil, galant et très généreux. Il est aussi très ambitieux, ce qui lui a permis de devenir acteur, d'accomplir son plus grand rêve. Très créatif, drôle, curieux et parfois trop sûr de lui, il a une personnalité multiple et intéressante. Il est néanmoins parfois très arrogant, un peu trop fêtard et irresponsable. A son âge, il n'a pas envie de se caser, il préfère papilloner. Malgré tout, malgré son côté un peu égoïste parfois et instable, il est tout de même super sociable et se comporte de manière très agréable en compagnie.

II ~ it has been through a lot
❄ Il n'a jamais eu la chance de connaître sa mère, celle-ci est morte en lui donnant naissance. Un drame qui a affecté toute sa famille, son père principalement. Là d'où il vient, lorsqu'un membre de la famille passe l'arme à gauche, on reste solidaire, on s'accroche à son rôle. Ephèbe n'a pas eu d'autre choix que de lutter contre les idéaux de son père qui, tout de suite, désirait voir son fils reprendre l'activité indépendante qu'il avait développé et qui commençait tout juste à prendre son essor. Jouant sur la mort de sa mère pour convaincre son fils que c'était là le bon choix à prendre, Ephèbe à longtemps vécu sous la coupole de son paternel, refusant catégoriquement de le décevoir, jusqu'à ses dix-huits ans.
❄ Il n'aime pas la vie à New York, pas plus qu'il aimait la vie à Los Angeles. Ces deux villes sont trop bruyantes, trop dynamiques. S'il ne regrette pas d'avoir quitté sa petite ville d'Oklahoma, il faut admettre qu'il n'arrive toujours pas à se sentir "chez lui" ici, à NYC. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé. Si le succès a tendance à lui monter à la tête, il faut savoir que le jeune Hamilton est du genre à taire ses sentiments parce que c'est ainsi qu'on l'a élevé, en homme ! C'est pourquoi il ne parle jamais de son "mal du pays", le fait d'avoir été déraciné et de ne jamias avoir réussi à faire pousser d'autres racines, ici et là-bas.
❄ La danse a toujours été un art qu'il admirait, malheureusement pour lui, il est né avec deux pieds gauches. S'il a tenté de prendre des cours en compagnie de Samuel pour le besoin d'une pièce, il faut dire que les progrès ne sont pas évidents, ne sont pas flagrants. Nourrissant une ambition et un besoin de surpasser toujours plus fort, c'est la raison qui le pousse à continuer de s'entraîner même s'il sait pertinemment qu'il n'aurait jamais l'élégance et la grâce de son professeur particulier. Il sait qu'il n'est pas fait pour cette discipline mais s'y cantonne quand même, il a trop besoin de jouer, d'être sur scène, pour laisser passer l'opportunité d'être un talentueux comédien multi-disciplinaire.
❄ Lorsqu'il pleut à torrent, Ephèbe sort. Allez savoir pourquoi, il adore sentir l'eau de la pluie ruisseler sur son visage, tremper ses vêtements et le laver de tous ses maux. Un toc qu'il n'a malheureusement jamais cessé d'avoir, quand bien même il vit aujourd'hui dans la Grande Pomme, dans un immeuble et au dernier étage de celui-ci, lorsqu'il voit tomber la pluie, il ressent le besoin de sortir à l'extérieur. En peignoir, en pyjama, en costume, peu importe l'accoutrement, il a juste besoin de ça. Si vous vous demandez pourquoi, il vous suffira de remonter plus loin dans le passé du jeune homme et vous découvrirez qu'il avait, à l'époque de sa plus tendre enfance, avec son père un rituel qui leur appartenait. A chaque fois que la pluie tombait sur leur maison, le but du jeu était d'être le premier à l'extérieur sous peine de recevoir un gage. Un jeu, mais plus que ça, une tradition. Aujourd'hui, il y joue toujours parce qu'au fond de lui, son père lui manque, même s'il a de la peine à l'admettre. C'est une façon comme une autre pour lui de se sentir continuellement proche de sa famille, de ses racines, de son père.
❄ Il a grandi dans une ferme, un monde un peu à part. Ce qui lui a surtout valu pas mal de vanne à l'époque de ses premières années d'études. Lorsqu'il en parle, encore aujourd'hui, il se souvient de lui comme d'un enfant plutôt renfermé, marginal et mal dans ses pompes. Lorsqu'il en parle, il a tendance à se décrire comme le dernier des imbéciles, trop intelligent, surdoué et surtout mis de côté par ses anciens camarades. Elle est loin à présent l'époque où il rasait les murs et où il masquait ses différences. L'époque où il essayait de ressembler à tout le monde, de faire comme les autres. L'époque où il s'habillait mal, où il s'exprimait mal et où il s'effaçait derrière les autres. Pas évident de grandir en étant différent, surtout dans une petite ville comme celle qui l'a accueillit. La-bas, tout le monde se connaît, tout le monde parle. Il suffisait de rien, à l'époque, pour qu'il devienne la risée du lycée.
❄ Sa seule véritable histoire d'amour était avec Annie, mais ça, il n'en a jamais parlé à personne. Une femme qu'il aimait passionnément, une femme pour qui il aurait été prêt à tout. L'année de ses vingt et an, ils se sont rencontrés par hasard lord d'une audition et se sont tout de suite beaucoup appréciés, un peu trop malheureusement. Aucun d'entre eux n'aura été retenu pour le casting, mais l'occasion n'était pas perdue puisqu'ils avaient fait une rencontre singulière. Les jours qui suivirent furent magiques, merveilleux. L'année qui suivit aussi. Flânant de casting en casting, rêvant de succès, jouant dans des petites pièces sans grandes ambitions, ils vivaient d'amour et d'eau fraiche et profitaient de leur amour, tous les jours un peu plus. Et puis, un casting plus important se profila à l'horizon, un casting qui aurait pu les aider tous les deux à percer une bonne fois pour toute. Elle fut sélectionnée pour jouer le rôle principale. Un second rôle principal masculin devait être distribué, il avait postulé. Elle devait trancher entre lui et un autre candidat, qu'elle ne connaissait pas vraiment. Et alors qu'il était persuadé qu'elle le choisirait, elle lui ascéna un premier coup de poignard dans le dos. Il n'obtint pas le rôle, il aurait pu s'en remettre s'il n'avait pas appris, quelques jours plus tard, qu'elle fréquentait son "rival" depuis quelques semaines déjà... Une rupture amère, des séparations atroces et un coeur brisé, depuis, Ephèbe n'a plus jamais accordé sa confiance à la gente féminine et refuse catégoriquement de s'engager, quand bien même il approche de la trentaine à présent.
❄ Il part couramment le Français. C'est un détail, me direz-vous, mais un détail qui fait tout son charme. D'ailleurs, Ephèbe rêve de parcourir le monde, s'il devait vous décrire son plus grand fantasme inavoué, il vous décrirait ces milliers de paysages différents qu'il désire découvrir. Les Alpes, la France, le Canada, Tokyo, Shangaï, le Congo, tant d'endroits sur terre, tant de cultures différentes et tant de choses à apprendre, à découvrir. Ce côté "aventurier" et "globe-trotter", il le tient directement de son arrière-grand-père qui, à son âge, avait déjà parcouru la moitié des Etats Américains, avec pour seul bagage un sac à dos.
❄ Il n'est pas Gay, du moins, il ne le pense pas. Creusez un tout petit peu dans le passé du jeune Hamilton et vous apprendrez qu'à l'époque du lycée, comme tous les jeunes de son âge, il a testé ce qui est interdit, ce qui ne se fait pas. De la drogue, en passant par l'alcool, la fumette et en survolant tranquillement les premiers baisers entre camarades de classes, Ephèbe a toujours une curiosité maladivement développée. De ce fait, c'est avec une certitude sans équivoque qu'il peut vous regarder droit dans les yeux et vous assurer qu'il aime les femmes. Cependant, il faut savoir que malgré son côté macho, revêche, mauvais garçon et légèrement abruti sur les bords, intolérants aussi, il reste tout de même très ouvert d'esprit et n'exclue pas le fait qu'un homme puisse lui plaire. Néanmoins, ce n'est pas demain la veille que vous l'entendrez vous dire qu'il a craqué sur untel ! Il a un égo surdimensionné et surtout une façon de voir les choses catégoriques et à toutes épreuves. Il refuse de se montrer publiquement bisexuelle, tout du moins curieux, tout simplement parce que, étant célèbre à bien des égards aujourd'hui, il a une image à conserver, à protéger. Ephèbe ne peut pas se permettre n'importe quoi.
❄ La presse lui a donné un surnom qui lui colle à la peau depuis son tout premier rôle dans une pièce, où il tenait un rôle secondaire et ridicul. En effet, il campait le rôle de l'oncle alcoolique et sans tabou du personnage principal. Il devait paraître ivre à chacune de ses entrées sur scènes et ne déblaterez que des insanités. Il était le bouffon de la pièce, depuis, on le surnomme "l'enfant terrible" et l'on a tendance à imaginer qu'Ephèbe ne pense qu'à sortir, qu'à boire, à fumer et à sauter tout ce qui bouge. Aujourd'hui, même si ce n'est pas forcément le cas, le jeune Hamilton profite de cette image pour se faire un nom. Vu comme un comédien égoïste, narcissique et puéril, il intéresse autant qu'il dégoute. On l'aime autant qu'on le déteste et c'est ses provocations à répétitions qui font qu'il est aujourd'hui si tristement célèbre autant par ses talents d'acteurs que par ses soirées complètement déjantées.
❄ Il n'a jamais refusé un rôle... peu importe de quoi il s'agissait. Il sait que pour arriver à percer dans le milieu, il ne doit surtout pas se montrer exigeant. C'est pourquoi dans son curriculum, Ephèbe met en avant le fait qu'il a joué de multiples personnages tous plus différents les uns que les autres. De l'adulte attardé à l'avocat, il ne se fixe aucune limite dans son jeu. Il sait qu'il doit faire continuellement ses preuves et il n'hésite pas à accepter les rôles que beaucoup d'autres refusent juste pour faire parler un peu plus de lui. C'est ce qui fait de lui un bon acteur, un bon comédien.

III ~ he didn't mince his words
Des opportunités comme celles qu'on lui proposait, Ephèbe n'en avait connues que très peu et malheureusement pour lui, elles lui avaient toujours filé entre les doigts. Ce n'était pas tous les matins qu'en se réveillant tout juste, on apprenait par le biais de son agent bon marché qu'une troupe de théâtre comptait s'offrir nos services pour un rôle principal d'une pièce en préparation, pour son rôle titre. Ce n'était pas tous les jours qu'on nous offrait la possibilité de monter enfin sur les planches et de montrer au monde entier ce dont on était capable. Qui plus est, depuis qu'il avait eu vent de cette information, Ephèbe n'avait eu d'autres pressentiments que celui de se dire que cette fois-ci, c'était la bonne. Ces années d'égarement, de travail acharné et de ténacité finiraient enfin par payer. Il savait qu'il tenait là le rôle titre, celui qui lancerait enfin sa carrière, celui qui lui permettrait de devenir quelqu'un. Mais toute opportunité, quelle qu'elle soit, exige une certaine rigueur, des sacrifices et impose quelques obstacles. En l'occurence, c'était la danse ! Puisque le rôle titre se devait de savoir danser correctement, c'était tout naturellement, et sous les conseils avisés de son agent, qu'Ephèbe avait pris contact avec la directrice de l'Escuela Caramba, réputée pour être l'une des meilleures de NYC et marqua rendez-vous avec l'un des professeurs de danse, de danse classique puisque la tenue du corps était importante et primordiale pour savoir danser et que, tout le monde le savait, cette danse était aussi à la base même de toutes les autres danses, une étape obligatoire à qui voulait apprendre cet art.

Ce jour-là, il mis ses affaires de sports dans un sac et quitta son appartement perché au sommet d'un immeuble de la Grande Pomme, paya un taxi qui l'emena directement devant les portes de l'école et s'y précipita. La directrice l'attendait, patiemment. Chaleureusement accueillit par celle-ci, elle commença à lui déblatérer tout son discours sur son école, sur la façon dont on enseignait ici, la manière dont on étudiait, les horaires d'ouverture, de fermeture et sur les tenues à porter durant les différents cours. Retombant en enfance l'espace d'un court instant, Ephèbe se déconnecta de son charabia le temps que dura le trajet du hall à la salle de danse. Un trajet court durant lequel le jeune Hamilton ne put s'empêcher de repenser à tout ce qu'il avait déjà sacrifié pour en arriver jusque là. Son père, ses origines et ses racines, la voie qu'on lui avait tracé... Il avait tout quitté pour ne se consacrer qu'à sa plus grande passion : la comédie. S'il n'avait pas réussi à percer dans le cinéma, il n'avait tout de même pas perdu espoir et c'était tout naturellement qu'il s'était rendu à NYC pour tenter une approche plus singulière de l'art de la comédie, se tourner vers le théâtre. C'était dans ce domaine qu'il avait commencé à toucher au succès. Rôle secondaire dans sa première apparition, il avait déjà fait sensation. Si l'on parlait de Lukke Ham (puisque tel était son nom de scène) comme un espoir théâtrale à suivre, il fallait aussi savoir qu'on ne donnait pas cher de sa chemise. Tantôt apprécié, tantôt détesté, Ephèbe savait jouer sur les deux tableaux avec une aisance telle que parfois, même lui arrivait à se surprendre. Et puis, la directrice le ramena à la réalité, elle poussa la porte de la salle de danse et là... le choc ! « Samuel, je te présente Ephèbe. Il est comédien et il a besoin de nos services pour une pièce, dans un théâtre de Broadway. » Sans bruit, sans un mot, Ephèbe s'avança. Depuis quand la danse était devenu un art viril et une affaire d'homme ? Il s'imaginait déjà flirtant avec sa professeur particulière, l'assommant de belles paroles et jouant de sa naïveté pour la mettre dans son lit, comme il le faisait avec toutes les filles qui, d'une manière ou d'une autre, l'admirait. Mais là... il s'agissait de tout autre chose. Surpris, il tendit sa main et serra celle de son nouveau professeur. La directrice s'écarta, puis disparu et c'est à ce moment précis que Lukke se permit de prendre la parole pour al première fois. « Je ne savais pas que ce serait un homme qui me donnerait des cours. Enfin, la danse classique, c’est un truc de filles. » C'était cliché, c'était mal placé aussi mais ça, Ephèbe s'en fichait royalement. Sur la défensive, il s'écarta doucement et jaugea son interlocuteur qui ne tarda pas à lui répondre, avec une assurance déconcertante. « On en reparlera quand tu seras aussi musclé que moi. Parce que des types comme toi, j’en mange trois au petit-déjeuner, et après, j’ai encore faim. » La répartie était cinglante, admirablement bien sortie. Il fallait lui reconnaître ça. Alors Ephèbe leva les mains au ciel, en signe d'excuse. Lui qui avait tendance à juger les gens un peu trop vite, voilà qu'il avait attribué le mot "tapette" au visage de son nouveau professeur. Sourire sournois, il planta ses yeux dans ceux de Sam. « J’ai rien dit. Mais ça doit pas être si compliqué que ça, si ? » Là encore, il touchait une corde plus ou moins sensible, mais il s'en fichait comme de sa première dent. Et la réponse de Sam' fusa, encore une fois. « Mon dieu, il va falloir t’apprendre les bonnes manières, toi. » Voilà comment nous débutions une relation du mauvais pied. Car le mal aise ne tarda pas à s'installer entre eux et à détruire toute possibilité quant à une potentielle amitié entre professeur et élève. Au départ réticent, ce que l'histoire ne raconte pas c'est que Lukke demanda à la directrice de l'école de changer de professeur mais que celle-ci refusa, rétorquant qu'il était bien pour lui que d'avoir affaire à un homme, à bousculer ses a-priori apparemment tenaces.

L'opportunité était pourtant trop importante, les enjeux trop grands pour prendre le risque de tout foirer. Alors, fierté en poche, Hamilton se rendit en cours le jour suivant, puis le jour suivant et ainsi de suite. Entre Sam et Lukke, c'était loin d'être bien parti. Loin d'être fusionnels ou complices, ils ont dû apprendre à travailler avec les défauts de l'autre. Et puis, petit à petit, la danse a pris le dessus sur le reste. Hamilton a oublié ce qu'il pensait déjà savoir et s'est laissé emporter par un torrent d'émotions nouvelles. Un torrent de sensations étranges et agréables. La danse, un art devant lequel il était admiratif et pour lequel il pensait ne pas être suffisamment doué. La danse, un art qu'il regardait de loin et puis, brusquement, il fut catapulté sous les projecteurs. La première de cette nouvelle pièce était programmée dans un délai qui lui laisserait le temps de faire ses preuves. Une année entière pour devenir un danseur plus ou moins crédible, c'était son défi, c'était son pari. Risqué, mais pas irréalisable. Voilà bientôt trois mois qu'il travaille avec acharnement et ténacité, trois mois qu'il "fréquente" Samuel et trois mois qu'il se découvre sous un nouvel aspect. Se découvrant brusquement happé par cette complicité qui l'unit à son professeur lorsqu'ensemble ils dansent, Hamilton prend du recul, il flippe. Après tant d'année à courir après ce qu'il estimait juste, ce qu'il estimait normal, il se découvre soudainement une attirance pour l'interdit, pour l'anormal. Lui qui reste avant tout un homme dur, solide, fort et revêche, voilà qu'en présence de Samuel, il baisse la garde, se montre plus humain, plus sensible. Alors lorsqu'ils ne dansent pas, Lukke se fait un plaisir de provoquer son professeur, de lui lancer des piques et de protéger ce qui lui reste d'armure car il sait que, dans l'univers qu'il cotoye, montrer ses faiblesses c'est faire un premier pas vers un suicide social définitif. On ne remonte pas la pente que l'on dévale, pas dans son monde, pas dans ce monde...

IV ~ questioning
Ici, vous seront posés des questions concernant votre place dans le contexte. C'est à cause de cette partie que diffèrent les différents formulaires en fonction du groupe choisit pour votre personnage. Vous devrez détailler au minimum six/sept lignes par questions et y répondre précisément.
(1) Qu'est-ce que vous inspire la danse? « Rien du tout, ou pas grand chose. Ce n'est pas que j'aime pas la danse, loin de là, je veux dire, c'est un art contemporain, dans l'air du temps et très beau à regarder. Je suis en admiration devant ces hommes et ces femmes qui unissent leur corps à la mélodie d'une musique. Qu'elle soit lente ou rapide. Je suis en admiration devant ces danseurs qui travaillent jour et nuit pour paufiner leur geste, leur tenue, leur expression. Mais je suis trop loin de ce monde pour en faire intégralement parti. Qu'on s'entende bien, je n'ai rien contre les danseurs mais venez assister à une répétition avec Samuel et vous comprendrez que je ne suis vraimetn pas fait pour la danse. Finalement, elle m'inspire ces collants ridiculs qu'on m'oblige à porter, ce travail pénible qu'elle me force à effectuer... et au-delà de ça, elle m'inspire aussi beaucoup d'autres émotions qui se mélangent et se combinent les unes aux autres. C'est fou ce que l'on se sent léger lorsque l'on danse. »
(2) Pourquoi avoir choisit Escuela Caramba? « A NYC elle est l'une des meilleures écoles. Sa renommée a pris les devants et c'est normal que j'ai choisi cette école plutôt qu'une autre. Pour ce rôle, je veux être le meilleur. La confiance qu'on a placé sur mes épaules, j'ai envie de la mériter. Je ne veux pas qu'on pense que j'ai baclé mon travail et je savais que je ne pourrais atteindre un niveau correct qu'en suivant des cours ici. On sait tous que les professeurs de cette école sont pointilleux, stricts et très professionnels. Alors il n'y avait pas vraiment d'autres choix et puis, je ne le regrette absolument pas. J'apprends pas très vite mais je progresse bien, du moins, j'en ai l'impression. »
(3) Pensez vous avoir un avenir dans ce domaine? « Pas le moindre. Je suis acteur, pas danseur. Mais je suis surtout un professionnel et quelqu'un de responsable dans sa profession. Vous me demanderez de sauter à l'élastic pour obtenir un rôle que je le ferais. Je ne suis pas limité à certains aspects du métier d'acteur, je veux tout essayer et j'ai l'ambition de pouvoir tout interpréter. Alors s'il faut savoir danser, j'apprendrais à danser. Je ne suis pas comme ces acteurs capricieux qui refusent certains rôles juste par peur de relever un défi trop lourd, trop important. Entre nous sois-dit, je n'ai aucun avenir dans la danse, même si j'apprécie beaucoup cet art. Mais je préfère regarder les autres danser que participer à un spectacles. »
(4) Quels sont vos rêves et vos projets d'avenir? « Il y en a beaucoup. Rendre mon père fier de moi, je sais que ce n'est pas évident pour lui et qu'il regrette amèrement mon départ de Sutton mais j'ai pour ambition de lui faire comprendre que je n'étais pas fait pour la vie qu'il m'avait choisi et que ce que je fais aujourd'hui me rend bien plus heureux que n'importe quoi d'autre. Et puis, j'aimerais aussi tourner dans un film, même une série, mais pour ça, il faut que je continue à travailler. Je sais que j'ai pas mal de pièces à mon actif, mais je me dis à chaque nouvelles représentations que peut-être, cette fois-ci, ce sera la bonne. Celle où l'on me remarquera enfin et celle où l'on appréciera mon travail. Bref, j'ai pour seule ambition que de m'épanouir dans ma passion et de pouvoir vivre ainsi chacun de mes rêves... »

V ~ no beating around the bush
Pseudo/prénom: sunshine.kiwi - kenny :**:
Avatar: josephgordonlewitt :)
Age/sexe: 21 ans, masculin !
Où as-tu trouvé le forum: sur bazzart (8
Commentaire: ça faisait longtemps que j'avais pas vu un forum comme celui-là :) je trouve qu'il est génial, simple et qu'il se distingue bien des autres forums. j'aime j'aime, j'aime !